Les jardins du château

Mèl, partant de la pierre de la mémoire, se dirigea vers les jardins du château. Elle pensée qu'à cet endroit, elle pourrait réfléchir. Cette partie extérieure du château était immense et avait plusieurs passerelles, c'est pour cela que tout le monde l'appelait « Les jardins ». La première passerelle était réservé aux fleures les plus belle du pays et aux senteurs qui vous envoûte rien quand une seconde. C'était très beau, toutes ces couleurs pastelle qui surplombait les murs, ces petits oisillons qui piaillaient, ces papillons de toutes sortes, bref un petit coin de paradis et de repos, s'ils ont voulaient s'assoupir et être au calme.

La deuxième passerelle étaient toutes aussi belle et apaisante avec sa fontaine au milieu. C'était comme une réserve pour animaux, avec le petit lac pour les canards, grenouilles et poissons, des abris pour oiseaux en forme de petite maison pour les poupées et des espèces de niches pour tous les autres.

La troisième passerelle, était réservé à la directrice et aux professeurs, certainement, pensait Mèl, pour les plantes afin de fabriquer différentes potions.

La jeune elfe alla dans la première partie, là où tout était si calme et se dirigea vers un banc afin de se reposer. Elle s'allongea et regarda le ciel et ses nuages. Ensuite elle se remit à réfléchir sur les paroles de Guardo.

*Comment a-t-il réussit à oublier sa haine envers les Humains ...*

Mèl se posa des tas et des tas de questions après avoir parlé à ce professeur. Est-ce qu'elle faisait était vraiment juste ? Elle ne s'avait plus où été le bien et le mal, ces limites que les parents apprennent à leurs enfants. Tout était si compliquer pour un si petite et jeune elfe. Toutes ces pensées négatives et ces noirceurs qui lui remplissaient son esprit étaient-elles justifiées ? Tant de questions sans réponses. Pourtant, elle avait toujours cette idée de venger les siens dans sa tête et ça, rien ne pouvait lui enlever, qu'elle soit du côté du bien ou du mal.

Toutes ces interrogations la fatiguée et elle commença à s'assoupir sur le banc, dans le jardin.

Murgen, qui, ayant marre d'attendre des élèves qui n'arrivaient pas, décida d'aller les chercher lui méme. Son choix serait simple et rapide, les personne qu'il rencontrerait dans tout se qui était jardin, promenade etc... seraient pris d'office dans son cour. Il commença donc à se promener, les mains dans les poches, son énorme faux accrochée dans le dos ainsi que son long baton de combat. il ne rencontra pour ainsi dire personne en dehors des batiments du chateau. Il avait pensé à laisser un message dans la salle de cour extérieur comme quoi il serait bien vite de retour pour leurs apprendre à tenir une arme correctement. Alors qu'il allait faire demi-tour, il entendit comme une légére respiration. Un sourire apparut sur ses lévres, son premier élève s'était assoupis dans le jardin. Il allait devoir lui apprendre qu'on n'était pas ici pour dormir mais pour travailler. Il se dirigea sans bruit vers le banc d'ou venait la faible respiration. Se qu'il vit le ravit au plus haut points. La jeune elfes qui dormait la était une de celle qui lui avait lancé un des plus noir regard qu'il lui avait été donné de voir. Cela lui plaisait. Il se rapprocha lentement, puis se baissa et lui chuchota quelques mots à l'oreille.

" Et bien et bien, si vous avez le temps pour dormir, vous l'avez aussi pour vous entrainer, c'est pourquoi je vais vous accompagner jusqu'à ma salle de cour."

Puis, toujours souriant il se redressa, et dans un geste de défis, lui tendit sa main pour l'aider à se relever.

Mèl qui était en train de dormir, avait déjà commencé à faire des cauchemars, ce qui la réveilla plusieurs fois. Toujours les mêmes et les plus horribles qui la font transpirer à grosses goûtes.
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Dans ce mauvais rêve, elle se trouve toute seule dans une pièce immense. Curieuse, celle-ci avance pour voir s’y il y avait quelqu’un d’autre mais elle ne trouve personne. Puis se retournant elle voie son père et son grand père hurlant de douleur et l’appelant à l’aide. La jeune elfe pétrifiait de peur n’arrivait à faire aucun geste. Ensuite elle vit un humain à côté d’eux, qui ricanait et la fixait. Il sortit une longue épée et d’un geste trancha la tête de son père et de son grand père. Mèl dans ce cauchemar ne réagit pas, paralysée par tant de méchanceté, mais des larmes coulent toutes seules le long de ses joues.
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Et la jeune elfe se réveille transpirant et pleurant comme dans ce mauvais rêve. Au bout d’un long et pénible moment celle-ci arriva à s’endormir sans aucune peur. Et bien sur la seule fois où tout ce passe bien, il fallait que quelqu’un la réveille. Et encore plus par un humain. Mèl sursauta et tomba du banc.

* Aie, roo qui ma réveillé encore ?*

Elle se releva doucement, se frotta de toute la terre et cailloux qu’elle avait sur son pantalon. Voulant savoir la personne responsable qui l’avait interrompu, elle releva la tête et là elle vit ... un humain ! La jeune élève était comme dans son cauchemar terrifié et paralysé, au premier abord. Puis elle se souvenu que cette être ridicule était professeur, c’est alors que son regard passa de la peur, à la vengeance. Elle vit du rouge partout, des flammes, toutes les choses qui pouvaient lui faire pensé au mal. Elle continua de la fixer d’un regard méchant et hostile. Elle aurait pus avoir des mitraillettes dans les yeux, elle aurait déjà fait un carnage.
L’humain avait un regard de satisfaction avec son sourire, et lui parla. Etonné l’elfe se redressa et baissa sa garde.

*Il fait des cours de quoi lui déjà .... À oui le maniement des armes il me semble ... et si je le tué avec une de ses armes ? Pff je n’aurais sûrement pas une chance il doit être fort. Et si je m’entraîner pour le tuer ?*

Le côté sadique de la jeune elfe remontait à la surface et ça ne présageait rien de bon. Elle avait tout de même toute sa tête et savait très bien se qu’elle faisait, mais ne connaissant pas cet humain, sa première réaction fut celle-ci. Elle continua de l’observer, comme une bête curieuse qui n’était pas du coin.

« C’est bon je vous suis, j’ai rien d’autre à faire » Dit elle d’un ton sarcastique.

*Les humains ... tous si cupide ces choses là ...*